Incontournable également, ce lieu qui me tient tant à coeur et que j'ai découvert dans les années 90 à l'époque où rien n'était organisé et où il fallait trouver un pécheur qui vous y emmène: l'île Plate!
Pour changer un peu, nous avons choisi d'y aller en bateau à moteur, le but étant de débarquer réellement sur l'île Plate et pas seulement sur l'îlot Gabriel comme le permettent les catamarans.
Dire que tout a bien changé est une évidence, ces lieux merveilleux sont aujourd'hui accessibles à tous et ce ne sont pas moins de 20 catamarans qui s'alignent devant l'îlot Gabriel tandis qu'une dizaine de bateaux à moteurs permettent d'accoster l'île Plate.
Est ce que le charme opère toujours? oui et non mais c'est ainsi.
Nous prenons le bateau sur la plage de Cap malheureux, ce qui nous permet de revoir encore une fois l'église au toit rouge.
Il faut parcourir les 15 km qui séparent l'île Plate de la plage de Cap malheureux et nous allons découvrir ce que c'est que c'est que la houle et le vent quand on sort du lagon! Nous avons été secoués, arrosés, mouillés et j'ai même eu un peu peur! rien à voir avec le voyage en catamaran!
Le rocher aux pigeons
Une merveilleuse journée et une pensée pour mon auteur préféré JMG Le Clézio et son livre La Quarantaine à lire et relire pour comprendre l'île Plate.
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